
Sessions Curio #6 x Girls Don’t Cry : BELARIA + DIDI HAN + LISA MORE + VANILLE + FAUSTINE
La Sessions Curio du mois de mars passe en format club !
Rdv le 22 mars pour la « sessions Curio #6 » : pour l’occasion les Curiosités s’associent de nouveau à Girls Don’t Cry le projet lancé par La Petite pour mettre en avant une culture club avant-gardiste 100% féminine !
Au programme de la soirée 5 artistes de la nouvelle scène club française aux univers mêlant techno underground, trance, italo disco, ou encore EBM Pret.e.s à danser?!
BELARIA
https://www.facebook.com/belaria.music
https://www.instagram.com/belaria___/
Membre du label et collectif mixte genre/génération Friendsome, depuis 2018, la jeune et talentueuse productrice et DJ Belaria a gravi les échelons ; fin 2021, Beatportal l’avait déjà sélectionné dans « l’un des 10 artistes à la tête de la révolution underground française ». Confirmé en 2022 ; elle est l’une des résident.e.s du Badaboum après avoir déjà joué dans les institutions parisiennes telles que le RexClub ou La Machine, et partagé la scène avec les légendes Krystal Klear, MCDE, Laurent Garnier ou encore Vitalic, notamment à l’occasion de la captation Arte à La Gaité Lyrique ; Stand With Ukraine de Jennifer Cardini, lors de laquelle elle joue en b2b avec Pedro Winter.
Son titre « Morning Disco Tonic Bongo » remporte le “Producer Day” des Chineurs de House, dont Belaria devient la première gagnante depuis sa création. Ce véritable hymne de l’été 2021, sera suivi de « Heartquake » sorti sur sur la compilation « DJs For Climate Action : Climate Soundtrack », puis d’un premier EP « Boost & Doubts », paru en Juin 2022 chez Friendsome, assumant un style unique, allant de l’Italo-Disco à l’EBM en passant par la Dark Disco ou la Synth Wave, tout en conservant ses inspirations principales : la New Wave et la Synth Pop.
DIDI HAN
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LISA MORE
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https://www.instagram.com/lisam.o.r.e/
Clermont-Ferrand est un irréductible village au cœur du pays. Non seulement il abrite un des meil- leurs clubs de France, le bien aimé 101 Club, mais il est également un sacré repaire d’artistes de qualité. Parmi eux, Lisa More dénote par sa fulgurance. Après un apprentissage du Djing par son père (lui- même Dj et disquaire) dès l’enfance, puis l’organisation de ses propres raves à l’adoles- cence, elle finit par jouer dans le club qui a marqué son évolution aka le 101 en 2016, ensuite c’est le vortex : à peine deux ans plus tard, elle fait partie intégrante de cette équipe comme nulle autre pareille et devient résidente et organisatrice des nuits bleues (The Blue Nights). Au cœur du fief natal mais aussi dans la France entière, la vague se veut large d’idées et porteuse d’horizons, si bien qu’en 2020 , elle ajoute une corde à son arc en créant le label affilié aux nuits bleues: Tsunami Recordings.
Côté set, on peut s’attendre également à une déferlante particulière, tant Lisa More navigue entre breaks assassins, textures electro, nappes émo et arpeggios trance, le tout parfois teinté de tex- tures psychédéliques, autrement dit: elle déteste qu’on lui mette des barrières et navigue facilement entre les genres en créant une cohérence extatique.
A seulement 25 ans et après avoir déjà foulé les plus grosse institutions françaises et européen en tant que Dj, cette nouvelle année annonce un tournant pour Lisa More car elle a sorti en mars son premier album, quil n’a rien d’un album club auquel on aurait pu s’attendre, on pourrait plutôt le décrire comme un voyage mélancolique nécessaire pour nourrir les papillons qui logent dans notre estomac.
VANILLE
https://www.instagram.com/vanille.dj/
Formée à (très) bonne école chez les kids de Londres et adoubée par queen Honey Dijon, Vanille impose son style et ses rythmes sur la scène européenne et ne compte vraiment pas s’arrêter là. En décembre dernier, elle offrait un closing tout feu tout flamme comme elle sait les faire au public exigeant des Trans Musicales de Rennes (Bretagne), où ont été révélé·es avant elle Daft Punk, Björk, LCD Soundsystem. Depuis, une première Boiler Room parisienne, un retour en bombe sur ses terres du Bon Air à Marseille, un deuxième passage dans la fancy salle de bain de HÖR, entre autres.
Sa recette : une techno franche et acerbe, mais qui surprend toujours à base d’influences house (qui lui viennent de son père), trance, psy-trance. Un spectre musical presque infini qui va même jusqu’aux sonorités hardtek entendues lors de ses premières raves, là où tout a commencé ; et des remix pop toujours bien calés. Bref, la résidente Rinse ne se fixe aucune limite derrière les platines : il y en a pour tous les goûts, de toutes les couleurs. On passe sans préavis du sombre à la joie, du calme au tonnerre, du before à l’after. Elle le dit elle-même : “Mes sets c’est : on tabasse, on caresse, on tabasse, on caresse”.
FAUSTINE
Parc Technologique du Canal Rue Théodore Monod 31520 Ramonville Saint-Agne